Une sculpture qui évoque davantage la photographie, qu’une photographie elle-même;

De la sale Histoire aux photos d’Alix:

Cette mise en « volume » de l’oeil, invite à réfléchir sur la nature du medium photographique en tant qu’outil de représentation, de narration et d’expression. Elle perpétue la mise en place des relations conceptuelle entre la photographie et d’autre médiums. Dans « Males posing« , il en va de même avec le dessin, dans « L’Usage de la femme« , on retrouve l’écriture…

Tirages jet d’encre pigmentaire noir et blanc et couleur sur papier Ilford heavyweight mat – 21X29,7 CM – V2 – 2022.


  • Une sale histoire (1977) et les Photos d’Alix (1980) de Jean Eustach. Ces deux films invitent à une réflexion sur la photographiques.

De 1997 à 1999, plusieurs séries se sont constituées autour de « La Sale Histoire » de J. Eustache, « L’histoire de l’Oeil » de G. Bataille et la « Pointe à l’oeil » de A. Giacometti. Une série de dessins, de sculpture/installation, ainsi que le plus abouti cône en pointe à l’oeil: « Le loup », « La ronde », ainsi que « Statuaire« .


Ci-dessus: « Le Loup » , Installation – Miroir, Fourure de Loup, tirage« baryté » au gélatino-bromure d’argent, ficelle et carton – 1992

(PHOTOGRAPHIE /SCULPTURES. Textes de Domonique Païni, Michel Frizot, Hubertus von Amenlunxen, Hélène Pinet, Jean-René Gaborit, Françoise Ducros & Régis Durand.)