After the “Mother and Daughter II” series, this project prolongates and precices the work towards its “Grotesques” orientation.
I am still diving into this singular bibliography, as not much has been said on this “peculiar” side of the art history:
Beyond other (and in french!):
Les grotesques by Philippe Morel
Les figures de l’imaginaire dans la peinture italienne de la fin de la Renaissance
(Nouvelle édition)
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Champs arts – Art
Paru en 2011
432 pages / Format poche
Les grotesques by A. Zamperini
“Vasari définit les grotesques comme un genre de peintures libres et cocasses, inventé dans l’Antiquité pour orner des surfaces murales. Il a pour principaux motifs des rinceaux végétaux, des candélabres, des figures humaines, mythologiques, animales ou hybrides – insolites ou fantastiques- disposés sans aucune logique apparente, narrative ou spatiale. Le Moyen Age a privilégié les hybrides monstrueux et les drôleries alors que le Quattrocento a cherché à se réapproprier les formes ornementales de l’Antiquité, notamment celles mises au jour par la découverte de la villa de Néron, la Domus Aurea, en 1480. Les grotesques connurent alors un extraordinaire succès, consacré par leur emploi dans les Loges du Vatican, décorées vers 1518 par Raphaël et son atelier. Ils devinrent alors une composante essentielle de la décoration des monuments profanes et religieux, envahissant même la céramique, la tapisserie et le mobilier, et de nombreux peintres se spécialisèrent dans ce genre. On peut parler de XVIe siècle triomphant. Au début du XVIIIe siècle, la découverte d’Herculanum et de Pompéi allait lui donner une nouvelle jeunesse, s’étendant aux décors d’intérieur, à l’habillement… Et, au XIXe siècle, alors même que le néoclassicisme épurait le style, les grotesques continuèrent d’apparaître dans les arts appliqués, marqueterie, céramique, tissu et mobilier.“(…)
306 Pages – CITADELLES ET MAZENOD (24/10/2007)
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